Convivialité, convivialisme, convivance
Sur la base de l’article
Claude: A la lecture de cet article, tu sembles avoir des réticences au convivialisme.
Anthony :
J’ai lu les 5 principes avec intérêt. Dans l’ensemble ils me semblent alignés avec les valeurs que je porte. Le principe d’opposition créatrice, présenté comme le rempart contre les monarchismes et despotismes ne me parait être le seul. L’objectif écologique du triple zéro me parait utopique en particulier sur le zéro émissions de gaz à effet de serre.
Claude : C’est un peu ce qui rassemble les manifestes de proposer des utopies.
S’opposer sans s’entretuer :
Anthony : c’est une grande force dans nos équipes de permettre des discussions apaisées et qui aboutit à une richesse de propositions et de solutions et à converger.
Claude : La Hte Garonne est le premier département à expérimenter le revenu minimum, à voir dans quelle mesure concrètement.
Anthony : Les évolutions proposées dans le domaine du patrimoine et l’idée même de revenu minimum seraient une révolution si elles étaient mises en œuvre. Par exemple, tout étudiant pourrait disposer d’une somme de quelques dizaines de milliers d’euros. Cela corrigerait une source principale source d’inégalité qu’est le capital avec lequel on part.
http://convivialisme.org/2021/04/18/lurgence-dun-moderantisme-radical/
Dimanche 10/10 2021 : Notre semaine conviviale.
Dans le dictionnaire, Savarin cuisinier du XVIIIe, l’art de manger et boire ensemble. Convivial est lié à la nourriture.
Claude : J’ai donné une formation plutôt conviviale, des bières le soir c’était convivial.
Vendredi midi, le GRESS, Groupe de réflexion sur l’économie sociale et solidaire - réuni au Grenier, Philippe, un conseiller municipal de Castanet avait amené une pizza faite maison, de la bière et du vin.
Anthony:
Lundi, j’ai déjeuné avec Julie Hénin pour préparer notre animation commune de la fresque du climat en présentiel pour Mercredi prochain avec la communauté agile de Lille. Il faisait grand soleil et j’ai profité très agréablement de mes trajets à vélo.
Dans mon équipe, nous avons partagé de bons moments conviviaux. Auparavant nous avions fait remonté notre manque de vision, … Cette semaine nous avons mené plusieurs ateliers de réflexion sur les features, brainstorming ensemble avec le PO, qui ont abouti à plein de nouvelles idées intéressantes.
Avec mon coéquipier de pair programming , nous avons des moments conviviaux quotidiens, et guerre sainte autour du formatage de code (cf. article python outil de formatage https://github.com/google/yapf voir note de bas de page).
Je me souviens avec plaisir d’un moment convivial la semaine précédente, nous avons pris l’initiative d’explorer une solution dans un autre langage de programmation (go) qui a conduit à de très bons résultats.
Jean-Pascal
Jeudi on s’est retrouvé avec des ex-collègues Akka au restau Les fortes têtes à Toulouse (le nom a un sens). C’était un moment convivial (depuis si longtemps à cause du confinement) on était contents. On a retracé le parcours avec des bières. Deux travaillent dans le domaine de la connaissance utilisateurs, valorisation des données des parcours utilisateurs, qui a des limites. Avec bastien, le format du forum ouvert a lancé la discussion sur le sens des pratiques. À quoi ça sert, finalement ?
Et réunion mensuelle du groupe de coachs avec un accueil offrant la possibilité de nous faire progresser. Réfléchir sur la mission du coach, sur la régulation (c’est-à-dire créer les conditions de convivialité). Comment s’affirmer sans s’opposer qui m’a rappelé le manifeste convivialiste s’opposer sans s’entretuer. Comment peut-il rester neutre ? Ca commence par l’entretien du coaching pour créer les conditions. Avec la supervision il y a une dynamique de groupe.
Trop centré sur l’individu pour les thérapeute au détriment de l’individu, attention dans le coaching nous pouvons avoir les même dérives. Dans un groupe de coaching éthique, nous poussons ces limites. Le groupe de super-vision permet également cela. Se sont des moments conviviaux entre coach et c’est notre façon de vivre notre approche convivial du coaching. Le collectif prend le relais pour donner ou trouver le sens et la direction. Le rôle de la supervision c’est d’éviter que les coach soit des électrons libre. Le superviseur est formé pour endosser ce rôle, il est lui même surpervisé. Il y a une analyse des zones d’ombre entre le coach et son client.
Le client c’est celui qui est coaché, pas forcément celui qui paie. Le client est l’usagé du coaching.
Coopération citoyenne est un moment convivial ouvert tous les vendredi même si les sujets ne sont pas forcément clairement définis
-
Coopération citoyenne
-
BILAN - une matière concrète / encore à creuser
Préconditions : cadre de confiance et de sécurité posé pour coopérer - FEARLESS
Est-ce que ce n’est pas une forme affaiblie du convivialisme ?
Sécurité psychologique - S’opposer sans s’entretuer.
On peut ressentir de la convivialité sans qu’un cadre soit défini avant.
Il convient de connaître les gens.
condition d’une pensée critique, se sont les idées dont nous discutons… Forum ouvert un outil convivial.
Se former à la pensée critique ?
Le temps fait que la confiance s’établit, un cadre implicite s’est mis en place. Le temps joue. Et la taille du groupe ? Oui. 5-6
On peut être différents et que la convivialité existe, ce n’est pas le contenu.
Et l"hubris ? L’excès dans les repas de famille ? Cela peut conduire à l’hubris. Et la notion de fête ?
Cela rejoint le modérantisme radical.
Remettre en cause l’accumulation de biens, qui n’a pas de lien avec le bonheur, contrairement à ce que veut nous faire croire le capitalisme.
parler vrai, être franc
- Formatage du code & “guerre sainte” => end all holy wars about formatting
YAPF takes a different approach. It’s based off of ‘clang-format’, developed by Daniel Jasper. In essence, the algorithm takes the code and reformats it to the best formatting that conforms to the style guide, even if the original code didn’t violate the style guide. The idea is also similar to the ‘gofmt’ tool for the Go programming language: end all holy wars about formatting - if the whole codebase of a project is simply piped through YAPF whenever modifications are made, the style remains consistent throughout the project and there’s no point arguing about style in every code review.